Dans un contexte de crise énergétique qui perdure, les dépenses liées aux programmes Move To Cloud sont scrutées par les DSI. Que ce soit pour les petites entreprises ou les plus grandes organisations, la maîtrise des coûts liés au cloud est devenue la priorité.
Afin de diminuer ces coûts, les directeurs des systèmes d’information (DSI) adoptent de plus en plus la stratégie FinOps. Cependant, cette approche centrée sur les économies ne répond pas pleinement aux exigences écologiques actuelles. Confrontées à des défis environnementaux ainsi qu’à des contraintes réglementaires et sociales, les opérations de cloud doivent également réduire leur empreinte carbone. C’est dans ce contexte que le GreenOps entre en scène. Il demande de comprendre, d’analyser, de mesurer et d’optimiser de nombreuses notions plus difficilement quantifiables que des euros : l’énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la répartition des usages, etc. FinOps et GreenOps sont donc très différents mais travaillent en tandem pour non seulement optimiser leurs coûts et leur utilisation du cloud, mais aussi pour minimiser leur impact environnemental. Une stratégie de complémentarité qui offre des avantages tant sur le plan financier qu’environnemental.